Personne depuis plus d’un an ne peut recueillir dans la bande de Gaza de témoignages sur ces victimes sans visage : plus d’une centaine de journalistes/reporters ont été liquidés là-bas, de même que plus d’une centaine de membres de personnel soignant. Les autres y réfléchissent avant d’y aller.
Pire, apparemment même en France les journalistes qui travaillent sur le sujet courent des risques : plus de détails ici.