@ L’auteur
J’ai fait le violent effort visuel de lire ton texte sans lignes blanches ni sous-titres sur ton blog (sur Agoravox, j’ai pas pu). C’est très intéressant, même si on peut contester ta conclusion purement économiste :
« En opposant Averroès (et Aristote) d’alors au wahhabisme d’aujourd’hui, on voudrait opposer le droit de la cité musulmane éclairée à celui du fondamentalisme. Tandis que la rupture principale se situe entre un islam marchand et spirituel d’une part et, d’autre part, un islam rentier qui transforme sa mauvaise conscience en rigorisme ».
Cette explication par la pure économie paraît un peu courte. Actuellement, qu’il soit marchand ou rentier, l’islam plonge un peu partout dans le rigorisme spirituel même à Dubaï la très moderniste qui pratique un esclavagisme moyennâgeux, et même le fondamentalisme islamiste, non ?