Bonjour !
Quand j’ai écris mon premier livre « Géni », je l’ai donné en correction, en premier à un ami inspecteur d’académie, puis à un étudiant avec une maîtrise en français,à une prof de lettres, puis à ma femme qui - avec son brevet ancienne mouture - a encore trouvé des fautes. Mon éditeur (parisien) quant à lui, disait : « mais à l’heure actuelle tout le monde s’en fout un peu de ces subtilités » Alors des lecteurs m’ont encore aimablement communiqué telle ou telle faute qui avait échappé à tous ces censeurs.
Et moi, je me dis : « décidémment je préfère et me sens plus à l’aise en Espéranto. Jes, tio veras, jam delonge mi estas uzanto de tiu bela kaj facila internacia lingvo. »
(Oui, c’est vrai, depuis longtemps je suis un utilisateur de cette belle et facile langue internationale.)