Vous avez bien lu le site, c’est bien. Cela ne fait que deux mois de retard
Sérieusement, voilà un exemple de production. Le disque parvient effectivement à réunir les générations car les sonorités font appels à plusieurs époques : beattles années 60, Disco année 80, piano voix façon elton John. Quant à Freddie Mercury, à part les changements d’octave et la voix parfois haut perché, je ne vois aucun rapport, en tout cas moins que Justin hawkins des Darkness dont la cure de desintox se prolonge, hélas.
Reste le plus dur après un tel carton : confirmer. Car si l’éclectisme a été souligné et bien aidé par un excellent producteur (que des artistes français de talents feraient bien d’aller voir, tiens...), il reste à trouver sa voie, d’imprimer un style Mika.