@ auteur
je trouve comme tout extremiste anti-libéraliste, ou par opposition, tout anti-collectiviste/-socialiste, que vous jettez le bébé avec l’eau du bain. Ces 2 mouvement sont complémentaires. En france nous avons mis plus l’accent sur le contrat social, certes, mais n’oublions pas les apports idéologiques très positifs du libéralisme bien APRES la révolution. deux exemple que je connais, moi qui ne suis pas historien ou polititien.
1 - le mouvement libéral n’est pas anti-démocratique comme vous l’avez affirmé. Il est même (avec le mouvement collectivo-socaliste) l’un des socles fondateur de la démocratie. le contrat social (collectivo-socialiste) est le cadre général de la démocratie, le contrat libéral en est le particulier ou atomique. dans ce sens le libéralisme a permit de poser une notion intengible de la démocratie : 1 personne (citoyen) = 1 voix. voix qui est indivisible (normal) mais aussi non partageable ou non cessible à autruit ou à la collectivité (à par exeption controllé comme la procuration). ta voix t’appartient à toi et pas d’autres. personne ne peux te la prendre. ton opinion est le tien et pas celui d’un autre. Même si ce besoin de prendre la voix de l’autre ou de contraindre la voix de l’autre est assez humain et existe dans tout milieu socio-professionnel, historiquement c’est le mouvement collectiviste qui a eu du mal à comprendre et respecter ce point démocratique (1 vote = 1 voix : voir la chasse aux jaunes dans l’histoire du XX ème siècle (celui qui ne vote pas comme le mouvement anti-jaune sera tué).
2 - le mouvement libéraliste nourrit aussi la démocratie en éducant le peuple. Jules Ferry (lois du même nom vers 1880) obligeant l’école pour tous, plassant ainsi l’éducation individuelle au centre du projet d’éducatif national, démocratique, économique ..... cette lois avait deux facettes : 1 libéraliste, et 1 prenant source dans le contrat social. Rappelons que Jules Ferry, était un homme de droite, collonialiste et libéraliste.
3. le libéralisme particulièrement économique n’est ni anti-écologique, ni pro-écologique. il parle d’économie c’eest tout. Avant ces dernières années, les courrants libéralistes parraissés désintéressé des problèmes écologiques. Les USA en étaient l’emblême fort. Maintenant, les industriels et économistes libéraux trouvent des opportunités économiques aux problèmes écologiques. La silicon valley est devenu cette année le coeur mondial du dévelloppement de ce que l’on appel maintenant la « green tech ». la puissante silicon valley devient la puissante « green valley ». mais reconnaissons que sans le radicalisme d’écolo alter mondialistes (parfois aussi socialistes) éclairés, cette dynamique économique ne serait jamais née. Mais maintenant le libéralisme économique commence à devenir un rouage hyper efficace pour produire du « green », même plus efficace que les mouvement alter-mondialiste qui ont conduit à sa naissance.
4. le libéralisme économique n’est ni anti-social ni pro-social. Des gens libéralistes responsables dans l’histoire peuvent être très bénéfiques pour la socialisation. Exemple Mark shuttleworth : l’entrepreneur milliardaire sud africain créateur du système d’exploitation d’Ubuntu : un système d’exploitation à 95%libre et 100% gratuit pour tous sans contrepartie, meilleur que windows et mac. Mark shuttleworth est un libéraliste milliardaire certe, mais qui est devenu sensible et responsable vis à vis de la misère sociale d’une certaine classe noire de son pays (Afrique du sud), puis du monde. cet homme a eu un comportement hautement responsable. consacrer une grande part de son temps et de son argent au système d’exploitation.
l’histoire foissonne de pleins d’autres exemples montrant tout simplement que le contrat libéral et le contrat social (et maintenant écologique) sont complémentaires, et que l’un ne doit pas trop l’emporter sur l’autre.
- le contrat libéral a de positif qu’il place au niveau individuel les droits et les résponsabilités (envers soi, autruit et la collectivité). C’est aussi un formidable moteur très souple et réactif faces aux changements, qui peut s’avérer très efficace même pour des fins sociales et écologiques (milieux associatif, dons, écologie ...). Poussé à l’extême, il a des côtés négatifs qu’en France nous reconnaissons plus facilement que dans d’autres pays : il détruit l’économie, le social et l’environement.
- le contrat social a de positif qu’il place au niveau collectif (l’état) les responsabilités envers soi, autruit et la collectivité. poussé à l’extrême. Nous connaissons bien les effets positifs particuliers du contrat social que nous envient beaucoup d’autres pays. Poussé à l’extrême, il a surtout de négatif qu’il alienne et déresponsabilise la personne face à soi, autruit et la collectivité : nous sommes étrangement un des pays démocratiques ou l’entrprise associative et le bénévolat sont le moins spontanné et efficace. les citoyens des pays dit anglo-saxons et surtout des usa sont les plus actifs dans ce domaines, évidemment car l’état n’est que peu responsable du sort de ces citoyens à l’interieur de ces frontières. Enfin le contrat social poussé à l’extrême détruit lui aussi l’économie et le social lui même et l’environement (car il faut aussi en plus du collectif, de multiples inovation individuelle, de la technologie et de l’argent pour créer de l’énergie dite propre pour 6 milliards d’humains ).
c’est la même chose pour l’écologie et tout autre .... certains mouvement écolo detestes les humains et voudraient qu’ils disparaissent, alors que l’humain peut être aussi pourvoyeur de biodiversité et de stabilité de l’environement : exemple biodiversité des agro-systèmes comme dans les bocages supérieur à la biodiversité forestière. l’Alpage diminuerai l’érosion dans les montagnes. La gestion des forêt par coupe hetérogène diminue la propagation des incendie (exemple histoire de yellow stone).
je pense que toute la difficulté des citoyens et des politiques est de prendre conscience de la part de responsabilité évidente que le citoyen et l’état dovent avoir. L’un ne devant pas aliéner ou faire disparaitre l’autre.
anti-libéraliste ou anti-contrat libéral non ! anti-socialiste ou anti-contrat social non-plus ! travailler ardamment sur la connection, l’équilibre et la synthèse entre les deux contrats et mouvements (et même écologique) : oui, meme si c’est difficile. Nous n’avons pas le choix je pense.
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