Marié à une Chilienne, j’ai vécu sensiblement la même expérience à la sous-préfecture d’Antony (département encore récemment dirigé par le riant Sarkozy) : attente dès 6 heure du matin sur la chaussée, sous la surveillance argneuse d’une flic visiblement sélectionnée pour son taux d’hormones masculines exceptionnel ; délivrance de tickets d’entrée limités au nombre de 40 par jour, pour les autres revenez demain, le portail automatique se referme, on se croirait à Drancy sous l’Occupation. Nous avons réagi en mobilisant le maire et un député par courrier, ce qui a produit son effet. Bon courage !