Salut le gus
Alors, content d’avoir ouvert la boîte de Pandore, de libérer tous les fantasmes en suspension dans l’air tels des virus malfaisants prêts à bondir sur le brave franchouille. Eh bien bravo c’est réussi.
Et de repartir gaiement dans le raisonnement à l’envers, décidément une marque de fabrique d’avox si ça continue ainsi.
Après 35 ans de guerre froide, une cible bien définie, on a 10 ans de flottement du renseignement qui ne sait plus s’il doit défendre les brevets contre la copie chinoise, surveiller Kadafi ou les narcos en Amérique Latine. Une guerre a été faite spécialement pour ça au Panama.
Sous-estimation de l’information, non remontée d’icelle aux niveaux compétents, insuffisance de la synthèse, ça ça nous connait bien, nous, champions de l’analyse mais pas plus, bref dans les années 90 il reste des trous béants de sécurité dans l’aviation et ailleurs, par exemple dans les parkings du WTC.
Il y a là des erreurs monumentales que ce gouvernement essaie maladroitement de nier. De là à en faire le maître d’oeuvre ... !!!
Ce serait une très mauvaise version du « Puisque ces évenements nous échappent feignons d’en être les organisateurs » (Cocteau ou Malraux)
« où sont les débris des avions (moteurs, etc.) de l’attaque du Pentagone ? Pourquoi les officiels qui ont été impliqués dans le vol United 93 (qui s’est écrasé en Pennsylvanie) ont été muselés ? Pourquoi les débris du vol 93 se sont dispersés sur des kilomètres alors que l’avion est censé s’être écrasé en entier dans un champ ? »
Là encore un gros mystère peut en cacher un plus petit. Il n’est pas impossible que l’avion de Pennsylvannie ait été touché par la chasse. C’est une simple hypothèse, les dialogues des téléphones portables indiqueraient que non.
Idem pour le Pentagone. Pendant 40 ans, les gens ont eu le temps d’étudier un système de défense de ce bâtiment très spécial. On présume que toutes les possibilités furent envisagées, y compris un dispositif assez puissant pour réduire en miette n’importe quel O.V.N.I.
Le problème dans les deux cas est qu’il y avait des passagers américains à bord d’où un épouvantable dilemne au moment des décisions qui peut expliquer les pataquès et l’embarras des explications a posteriori.
Mais de grâce arrêtons le délire.