Dans la guerre lancée contre le réchauffement climatique, autrement plus lourde de conséquences que celle d’Irak, l’hostilité et l’arrogance des États Unis n’ont pas été le prétexte d’un « Américan bashing », que je sache (on peut d’ailleurs le regretter !).
Alors, si nos « amis » américains ont été froissés par notre refus de participer à leur aventure scélérate en Irak, je ne vois pas en quoi nous devrions en concevoir la moindre culpabilité.