Rajoutons,que « les echos » ont souvent pratiqué la gratuité de son journal pour des entreprises afin de se
constituer un monopole que s’apparente à une diffusion de la pensée unique dont les éditos de Favella sentaient le
pétainisme.
Plus d’une fois,j’ai eu l’occasion de voir dans des entreprises,des editions des « echos » même pas ouvert et
mis directement au pilon.
Je l’ai lu souvent,car par rapport au neant,il constituait une base,mais avec internet,il ne représente que l’interprétation de dépeches d’agences économiques et n’a
jamais soulevé un scandale comme les 600 millions d’euros
de caisse noire d’une certaine derive des « relations sociales » ou dénoncer les escroqueries comme « les startups » des années 2000.
Il n’y a donc pas à pleurer sur « des journalistes » qui ne
cherchent qu’à toucher un gros chéque pour négocier leur
départ
Rien de nouveau !