Oui, ce n’est pas un hasard si ce monde tombe de plus en plus sous la coupe d’intérêts privés qui n’ont que faire de l’intérêt général.
Mais comment désamorcer ces mécanismes aujourd’hui puissants et cette idéologie du « tout marché » ?
Attendre que la crise des subprimes provoque (peut-être ?) un effondrement de nos économies ne suffit évidemment pas et rien n’autorise à penser que la « reconstruction » qui suivrait n’emprunterait pas les mêmes voies qu’aujourd’hui.
Quelles solutions ?
Ce pourrait être un thème de réflexion à l’occasion de la journée mondiale de mobilisations et d’actions du 26 janvier 2008 : « Un autre monde est possible ».