Présomption d’innocence peut-être, mais on ne dirait pas à voir le début de l’article : « le procès d’Yvan Colonna se révèle finalement comme l’occasion la meilleure et la plus simple pour le prévenu de démontrer son innocence, si innocence il y a ».
Navré, mais c’est l’inverse : le procès est l’occasion d’établir la culpabilité de l’accusé, si culpabilité il y a.
L’article souligne d’ailleurs bien les flous du dossier, qui témoignent d’un manque décevant de professionnalisme de la part du parquet.