Et moi et moi et moi chantait Dutronc.
ainsi donc la france qui pense, pense qu’il faudrait supprimer l’état, supprimer les impôts, supprimer les autres d’ailleurs.
Votre article m’inspire surtout de la pitié.
Qui que vous soyez que seriez-vous aujourd’hui, s’il n’avait pas été des femmes et des hommes solidaires, qui ont accepté de payer des impôts pour que vous alliez à l’école, qui ont accepté de cotiser, pour que vos parents bénéficient de la politique envers la famille, que ces mêmes personnes aient accepter de cotiser, pour soigner vos maladies infantiles, puis d’addo boutonneux. Qui seriez-vous aujourd’hui, s’il n’y avait eu une communauté pour payer les routes que vous utilisés, les aéroports et les gares d’où vous partez ou arrivez, les écoles ou facultés (privées ou publiques) ou vous appris le peu que vous savez.
Sachez qu’avant que la France n’accueille, la famille de tel ou tel, ex Nazi fuyant les communiste, ou ex communistes fuyant les survivants du nazisme, la devise de la France était Liberté, égalité, Fraternité. Aujourd’hui il faut lire Liberté. Egalité. Fraternité. Mais c’est un rébus. Liberté point (il n’y en a point) Fraternité il n’y en a point, Egalité il n’y en aura jamais.
Croyant savoir, que tout repose sur la loi de Paretto, qu’il n’est pas utile de s’occuper de 80% de la population car elle ne détenait (il y a longtemps que la loi de paretto à montrer ses limites) que 20% des richesse, une armée de jeunes égoïstes crie son savoir. Bouriquet au pouvoir ou quand Steevee devient le maitre à penser de la jeunesse. Et pour parfaire leur éducations ; ils prennent des leçons de savoir vivre auprès de Madame la baronne, ex prostitué (si si ca n’est pas par ce qu’elle ne se donnait au plus offrant qu’elle ne relève pas de cette profession par ailleurs, exception faite de la baronne justement) fort honorable.
Ainsi la solidarité est une mauvaise chose. Puis que vous êtes prêt à quitter la France, venez découvrir la Suisse puisque vous la citez, mais je crains que vous ne soyez déçu. Les prélèvements de solidarité y sont bien supérieur à chez nous, sauf que personne ne les appelle prélèvement obligatoire.