à l’heure où l’on parle du « devoir de mémoire », je pense que proposer un débat sur des notions de « génocide », en essayant de placer sur une échelle quantitative les tueries perpétrées par telle ou telle ethnie est une vaine tentative de provocation intellectuelle.
Je crois que le moment est venu d’assumer les actes de barbarie et d’extermination programmée qui ont fait l’histoire.
Ceux-ci ont la particularité d’avoir pris diverses formes et d’avoir été façonné par les personnes influentes et haineuses ne reconnaissant pas à l’autre d’agir ou de penser différemment.
C’est la méconnaissance du sujet et un manque de générosité qui je crois inspirent de tels propos, d’ailleurs déjà tenus à l’époque.