La mémoire étant courte et les « donneurs de leçons » comme ils se nomment eux-mêmes se trouvant des deux côtés de l’échiquier politique, il peut être judicieusement et ironiquement rappelé comment une certaine candidate, pendant la dernière campagne présidentielle, avait été clouée au pilori pour avoir osé adresser la parole et écouter des représentants du Hamas en Palestine.
L’histoire n’est-elle pas un éternel recommencement dit-on ? Sauf que dans un cas l’intérêt est économique et financier, dans l’autre complètement inintéressant de ce point de vue mais orienté « compréhension des leviers nécessaires et des parties prenantes à la résolution d’un conflit humain permanent ».
L’un paraissant tout de même très légèrement plus noble que l’autre.