Dis, Lerma, t’en connais, toi, des gens dont le rêve, l’idéal de vie, est d’aller plus encore au boulot, de travailler le dimanche, d’echanger leur temps de repos ou de loisirs contre une poignée de dollars ?
On ne cotoie manifestement pas les mêmes personnes, car ceux que je rencontre ont simplement besoin de pouvoir vivre, réparer la Renault 19, manger, se loger, et pourquoi une fois par an, s’offrir une semaine de mobil-home au bord de la mer. Ceux-ci travaillent le dimanche, se font payer leurs RTT, mais je n’oserais pas leur parler de liberté de la faire !