Les crises de civilisation sont souvent liées à des catastrophes naturelles ou humaines.
Le moyen âge s’achève dans une pandémie qui décime 1/3 de l’Europe, les idéologies progessistes du XIXe siècle s’abîment dans deux guerres mondiales.
La crispation actuelle se fait dans le pressentiment du péril écologique ou du choc des cultures.
La perspective de la politique de civilisation n’est plus le progrès mais le péril. Anticiper la menace au lieu de penser le progrès, là est finalement la limite de l’exercice.