Triste confirmation !
Depuis que l’on a inventé le terme civilisation, les contemporains d’une époque ont le sentiment de vivre un basculement.
Depuis la nuit des temps, les « sauvages » ou barbares ou primitifs, ont toujours tendance à trouver qu’ils sont les seuls « être humains », ravalant les autres dans l’animalité. Cheyenne, Nambicuara etc, veut dire être humain, et s’appeler humaniste quand on traite les gens de pou ne mérite pas les mêmes excuse que les peuples primitif qui eux, n’ont pas connu le passage par le vrai humanisme.
Il vaut bien mieux une valeur mondiale qu’universelle/ Le respect des anciens est une valeur universelle, mais elle est moins mise en pratique dans nos pays à maison de retrait et caniculés que dans les pays pauvres. On souhaiterait sa mondialisation.
Quand aux « valeurs universelles »…Quel contenu ? Essayer pour voir et sans regarder de citer tous les droits de l’homme ou même quelques uns et demandez autour de vous ( tient, par exemple, le droit sacré de choisir librement son école). Cela marche un peu mieux avec le décalogue et encore.
Il ne faut pas confondre vos aspirations personnelles avec des valeurs universelles.
Tient par exemple, le respect du aux croyances religieuses est un droit de l’homme, les traiter d’aliénation, donc de maladie est ce une valeur universelle ? Un respect d’une valeur.
Voir des malades partout est un signe de paranoïa, et vous traitant comme vous traitez les autres, je me permets de m’interroger sur votre santé mentale.
Le marché est très exactement un modèle, celui que l’on utilise pour essayer de comprendre comment fonctionne les échanges entre personnes et organisations. Rien de plus. Cette focalisation sur ce modèle d’étude paré de tous les vices est significative. La principale caractéristique des marchés dans une économie libérale c’est qu’ils donnent le choix et qu’ils sont sous le quadruple contrôle des consommateurs, des travailleurs des actionnaires et de l’état. Peu d’autres organisations peuvent en dire autant. Prenez ATTAC par exemple, propriété privée qui n’est même pas sous le controle de ses propres adhèrents.
Quand on est à 54% du PIB en prélèvements obligatoires et que la part des entreprises dans le même PIB est de 17%, se focaliser sur cet aspect finalement limité de la vie sociale et économique est inquiétant et même un peu suspect.
Il est un fait qu’il y a d’autant plus de justice sociale, de respect de l’environnement que l’on a affaire à des démocraties libérales. Partout ailleurs c’est pire et cela signifie quand même quelque chose.
Enfin il est clair que vous ne croyez pas en l’homme si vous imaginez un seul instant qu’une profession, même celle de grand patron peut déterminer toutes les dimensions notamment éthiques d’un être humain, mais peut être en certains hommes, ceux qui pensent comme vous.
Quant à pouacre, je trouve le mot très savoureux, je ne le connaissais pas, d’où mon point d’interrogation. C’est avec un plaisir linguistique que je l’utiliserai. Si je maintiens que qualifier une personne de la sorte ressort du vocabulaire classique de tous les racismes de tout temps, en revanche, appliqué à vos idées, et non à vous en tant que personne il me semble judicieux.