La question qu’il faut se poser c’est celle de la possibilité d’une révolution anti-capitaliste non-violente. Marx n’y croyait pas et avait de bonnes raisons de ne pas y croire ; celle de l’utilisation de moyens terroristes dans le cadre d’une révolution dont on ne peut exclure la violence en découle, quoiqu’en dise les révolutionnaires en peau de lapin (ou de la phrase) d’extrême gauche qui se prétendent, les bons apôtres anti-marxistes sur ce point, non-violents.