Bravo pour cet article qui jette une lumière sur la réalité du cybermonde, espace de liberté qu’il me semble bien difficile à contrôler, et c’est tant mieux !
Je dois néanmoins vous faire remarquer que le contrôle en amont des contenus existe et est appliqué dans une grande dictature : la Chine.
Vous n’ignorez pas que la version chinoise de Google bloque automatiquement toute recherche sur Tien An Men, tout ce qui peut permettre à l’internaute chinois d’organiser la contestation politique ou la dissidence. Cela prouve que si l’on veut, on peut cyberfliquer. La Chine est aussi le premier pays du monde à produire des quantités colossales de contrefaçons. En Chine on peut donc pirater sans risque, mais la cyberpolice chinoise s’en fout, parce que ce qu’elle surveille, c’est la pensée politique, ce qui est autrement plus vicieux, et dangereux…