Une grande enseigne publique non. Mais pourquoi pas une association, une fondation, une mutuelle, bref une société à but non lucratif ?
Clea permettrait de se rendre compte de plusieurs choses. Tout d’abord, que la part qui va dans la poche de ces salauds de patrons n’est pas si énorme que cela. Ensuite que même si les salariés ne voient rien de plus sur leur compte en banque chaque mois, ils coûtent de plus en plus cher au patron (35h ?). Et enfin que la société à but non lucratif n’est pas la panacée, car la recherche du profit est au final ce qui pousse à l’amélioration du système (en gros : la différence de prix avec les enseignes à profits diminuerait et s’annulerait).