Les tenants du libéralisme, du positivisme moderne ont toujours affirmé que la marchandisation du monde comme des esprits ne nous conduirait jamais au pire, au totalitarisme en retour, pourvu qu’ils aient toujours raison, car dans le cas contraire, en cas de soudaine faillite générale, quelle grande déconvenue !
A moins bien sur que l’histoire ne donne toujours raison absolu à ce genre d’individus devenus au fil du temps et de la modernité, excessivement et viscéralement matérialistes, pourvu que je me trompe car qui donc pourra les consoler demain d’avoir tout perdu subitement ? Sommes nous bien préparés à cela ?
Hélas quand la liberté n’est plus que commerce, la liberté ne rend plus les hommes sages ou meilleurs, mais davantage dépendants, esclaves, avides et insensés de choses en plus, d’idoles en or ou en argent, ce qui ne rend guère un monde plus viable à voir.