Je vois surtout un probleme de repartition des pouvoirs et des contre pouvoirs entre entites nationales, multinationales et supranationales.
Le pilotage d’une economie ne saurait etre confie durablement a des financiers. Nous mesurons le decalage entre une superbanque facile a piloter, un grand machin europeen ingouvernable et des nations incapables d’influer de facon significative, avec en toile de fond la demission des economistes et des strateges au profit de techniciens de la finance depourvus de vision strategique et qui plus est incapables de faire convenablement leur propre metier ces jours-ci.