Incapable de se renouveler, faute d’arguments, Asp en est réduit au principe du moulin à prière : ressortir toujours la même litanie par une page perso. Évidemment, toujours hors-thème.
Pour lui, avoir la possibilité d’apprendre une langue sans peine, en moins de temps et à moindres frais, pour tout être humain, où qu’il soit sur la planète, de pouvoir consacrer son temps à autre chose qu’à la mémorisation d’irrégularités innombrables, d’avoir la possibilité de consacrer ce temps à d’autre choses qui tiennent à coeur, c’est aussi condamnable que de faire en sorte que l’accouchement sans douleur soit possible pour toutes les femmes qui le désirent, où qu’elles soient.
Informaticien avec une mentalité moyenâgeuse, il me rappelle des anciens qui, dans leur profession, cachaient aux jeunes les méthodes de travail afin de ne pas être un jour dépassés ou remplacés par eux. Asp s’est vanté d’être meilleur en anglais que ses collègues de travail. Certes, c’est connu, dans toute entreprise, qu’il y a toujours au moins une personne plus lèche-cul que les autres. Il ne s’agit pas pour moi de critiquer ceux qui sont contraints, très souvent à contre-coeur, à utiliser l’anglais, mais ceux qui, à l’image d’Asp "Explorer" (sic ! voilà un pseudo bien mal choisi : il y a tromperie sur la marchandise !) en redemandent et s’opposent à la découverte d’une alternative à l’anglais. Une alternative qui aurait déjà permis depuis des décennies la solution des problèmes de communication linguistique, qui permettrait aujourd’hui de consacrer le temps économisé à des causes humanitaires si quelques gouvernements, en premier lieu celui de la France, au début des années 1920 (qui craignaient le domination de l’anglais, et c’est précisément ainsi qu’ils l’ont préparée !), n’y avaient pas fait obstacle.
Ça me rappelle que ce même Asp m’avait interpellé une fois à ce sujet alors que lui-même consacre son temps à baver sur un sujet qu’il croit connaître et alors qu’il y a tant à faire pour l’humanitaire auprès de soi comme au loin ! C’est à croire que l’existence de l’espéranto lui donne des cauchemards. Ça doit être éprouvant pour le macchabée qu’il est d’être tiré de son sommeil par une langue qu’il imagine à l’état cadavérique et qui le tire par les pieds ! Y aura-t-il encore un article de Masson demain matin sur AgoraVoix ? Quelle question angoissante ! Je lui ai pourtant déjà indiqué l’adresse de l’hôpital Ste Anne.
Sa "formation scientifique" ne lui a même pas permis de se rendre compte que la science ne vise pas à justifier des préjugés et une aversion maladive par n’importe quels moyens, mais au contraire à chercher où sont le vrai et le faux.
Nullité des nullités, Asp "Explorer" (re-sic !) est la parfaite illustration de ce qu’avait écrit le savant et homme politique François Vincent Raspail (1794-1878) : “Les philosophes et les novateurs qui se placent en tête de la civilisation rencontrent la plus opiniâtre résistance, et de la part de ceux qui souffrent par suite de leur paresse, et de la part de ceux qui profitent de cette paresse pour retarder de tout le poids de leur égoïsme le char si lent de la raison humaine.“
Bon, il ne faut peut être pas cogner trop fort sur cet idiot utile à la cause de l’espéranto. N’est-ce pas, krokodilo, esperantulo, skirlet, Libera menso ?...