Désolé, mais votre plaidoirie ( certes courageuse ) ne m’a pas convaicu. Le fait que l’épouse ait accepté d’avouer sa non virginité comme étant une clause de rupture du contrat de son mariage ne signifie pas que la justice se soit exonérée d’une complicité effective avec une loi religieuse.
Dire : je m’en lave les mains et je m’en remet aux élus pour qu’ils modifient la loi signifie aussi d’accepter les critiques qui peuvent suivrent une décision de justice. Même si comme moi elles n’émanent pas de spécialistes du droit.