Excellent documentaire. Ils ont laissé la parole aux conspirationistes en présentant leurs arguments pour ensuite les refuter. On voit des images inédites des premiers dégats au 7 suite à l’effondrement de la tour Sud (plus éloignée). Barry Jennings témoigne qu’il a été piegé dans la tour 7 après le premier effondrement (pas par des bombes) puis par le second. Le chef des pompiers Hayden témoigne qu’il a demandé l’avis d’un ingénieur et celui-ci lui avait prédit que le batiment allait s’effondrer. Le chef des pompiers Nigro confirme qu’il a pris la décision seul d’évacuer la zone entourant le building 7 sans demander une quelconque autorisation au propriétaire Silverstein. Un véritable expert confirme qu’il est impossible de placer des explosifs dans un batiment occupé sans se faire remarquer. Il démolit la thèse de gage que les explosifs aurait pu être placés dans les années ’80, ils ne sont fiables que 3 ans. Il dit aussi que des explosifs auraient fait sauter toutes les vitres aux alentours, même sur les facades opposées aux débris, ce qui n’est pas le cas. Il réfute la thèse thermite aussi en disant que ce produit est trop imprévisible pour une démolition contrôlée. Des experts ont bel et bien cherché des preuves d’une démolition contrôlée et n’en ont pas trouvé. Des centaines de personnes ont fouillé les décombres. Steve Spak témoigne aussi à propos des importants dégats et incendies du côté sud de la tour 7. Un pompier témoigne de même. Il n’a jamais entendu d’explosions.
Même Dylan Avery ne trouve rien de suspect dans l’annonce prématurée de l’effondrement du 7 par la BBC mais ses camarades ont "insisté" pour le mettre dans LC.
Barry Jennings ne croit pas au complot et regrette que ses déclarations aient été sorti de leur contexte.
Un expert dit qu’il n’y a rien de suspect dans l’état de l’acier. Le chef enquèteur du Nist explique qu’il est normal que leur rapport final vienne si tard. Il donne aussi des explications. Les poutres horizontales qui cèdent suite aux incendies fragilisant les piliers verticaux.
Comme le disent les pompiers à la fin, eux ils étaient là et des camarades sont morts ce jour-là et ils n’aiment pas qu’on fasse des fictions de conspirations sur cet évènement.