Il convient de plus de souligner que, malgré la crise en Géorgie, personne à Paris, à Berlin, ou à Moscou ne réclame l’abandon des négociations qui ont commencé ll y a quelques semaines, entre la Russie et l’Union Européenne.
On peut se demander si le mouvement d’humeur de Sakaatchvili, de même que les déclarations du Président Polonais très critique sur le leadership Franco-Alllemand en Europe, ne sont pas liés à cette négociation.
On peut comprendre, en effet que les pays de l’Est Européen, ainsi que les Etats Baltes, l’Ukraine et la Géorgie, qui ont tous eu à subir le joug Soviétique, soient réticent devant la perspective d’une alliance étroite de la Russie et de l’Europe.
On peut le comprendre, mais la politique Europénne vis à vis de Moscou ne peut pas être dictée par la Lituanie, et encore moins par Washington !