Pour ma part, je me doute bien que les écrivains féminins ne se résument pas à cette caricature de femmes nevrosées. Je préfère nettement un bon roman d’une de soeurs Brontë ou les récits autobriographiques de SImone de Beauvoir aux élucubartions nombrilistes d’Angot ou de Millet. Ce n’est pas demain que ces deux dernières nous ponderont un chef-d’oeuvre dans la veine de Hauts de Hurlevent.