« La mort de Jörg Haider plonge l’Autriche dans l’inconnu (1) »
Avec moi grosse voix de banni, de nègre-blanc, de RMISTE payant l’impôt sur la fortune, de célibataire cocu, je n’ai qu’une parole à dire à notre démago pat auteur, les cimetières sont peuplés de gens indispensables et les vivants ne s’en portent pas plus mal.