Certains réclament, comme électrochoc assuré, l’arrêt des bourses pour une remise à plat du système. Tout à fait réaliste : geler, on ne sait par le fait de quelle autorité (Dieu le Père, sans doute…) toute l’activité financière mondiale sans anticiper une quelconque conséquence dramatique ; donner un blanc-seing aux Etats, y compris aux trois-quarts fondés sur la répression de leur peuple, pour se substituer aux opérateurs privés. Comme si la vertu du tout-Etat devait naturellement se déduire des malfaisances opérées dans la sphère privée. Absurde.