Ce que vous décrivez en quelque sorte, c’est un genre de gang ayant pignon sur rue, des faux monnayeurs qui officient en plein jour sans condés sur le dos et sans accroc au casier judiciaire. Suffit d’avoir un bon graveur, un bon imprimeur, et des couillons, qui n’ont pas 10/10 aux deux mirettes, avec des talbins à disperser. Pas de souci avec les perdreaux, on envoit M.E.L. ou G. M. (non, pas la Métro Goldwyn Mayer) faire leur cinéma sur les plateaux télés. Et le pigeon fonce tout droit se faire plumer et rôtir à feu doux.
Une juteuse affaire que la Grande Distribution. Un bizness de bon rapport, sans risque