je n’approuve pas la minute de silence, mais
je comprends le processus judiciaire que tu évoques imohtep mais tout de meem, en se tuant, il s’est jugé lui meem et s’es donné la mort. et ce jugement extrême, sans retour possible, peut être mû par un désespoir profond ou une folie passagère l’a anéanti. un suicide ne se fait pas sans souffrance.en se suicidant, il a été (peut être) moins clément avec lui meem que la justice des hommes (voir affaire cantat). non que je trouve le jugement de l’affaire cantat scandaleux, mais la comparaison est intéressante dans les similitudes.
il reste les enfants, leur douleur et leurs questions sans réponse, ayant perdu leurs deux parents
une femme est battue et meurt sous les coups tous les jours en france...