Le thème est un drame familial. C’est un "simple fait divers", comme tous bouleversant pour les personnes concernées de près.
Deux sujets différents dans l’article.
Pour ce qui est des faits et de leur qualification judiciaire, il est certes évident que l’homme a tué, mais il est bien possible qu’il eût bénéficié d’un non-lieu pour irresponsabilité. S’il s’est suicidé, son discernement était probablement suffisamment altéré pour qu’il ne puisse y avoir jugement sur le fond.
Des fous, il y en a beaucoup. Des fous qui tuent, il y en a quelques uns, on l’a encore vu récemment. Contrairement à ce que matraque notre président pour complaire à son électorat, la solution n’est pas judiciaire mais médicale. Ca fait 20 ans que l’on ferme à tour de bras les lits en psychiatrie publique, il ne faut pas s’étonner à l’arrivée.
Pour ce qui est de l’éventuelle commémoration par l’Assemblée, il me semble aussi qu’elle eût été mieux inspirée en rappellant si ce n’est pas le cas le travail fourni par le député et en déplorant le drame subi par la victime. Mais je n’y étais pas pour juger des termes employés.
En tout cas, ma sympathie aux proches.