bonjour vilach
C’est le syndrome de la victimologie. à ce rythme nous finirons par ne plus savoir que nous existons à vouloir gommer de notre existence le plus petit et insignifiant événement qui peut porter les trâces d’une souffrance. la souffrance est un indicateur de vie, la rendre supportable est un acte médical mais en tout état de cause elle conditionne nos comportements, et elle ne peut -être absente sous réserve d’être un légume. seul ses seuils sont discutables.
c’est plus qu’une simple question de discernement, c’est la conséquence d’un mythe meutrier celui de la tolérance zéro, et pour appliquer cela il faut être un névrosé. c’est ainsi que les malades ne sont pas ce que l’on croit.
cordialement.