bonjour infos libres
bonne initiative qui permet l’échange.
Commettre des erreurs professionnelles n’est pas condamnable et heureusement. Seules les actions d’escroqueries etc. sont du domaine judicaire. Les fautes professionnelles sont couvertes par des sanctions réglementaires sous la responsabilité de celui qui en juge dont le différent relève du conseil des prud’hommes, il ne manquerait plus que l’on « criminalise l’activité professionnel,
je sais qu’il y a une tendance à croire que c’est en criminalisant tout que l’on trouvera une solution à nos problèmes. c’est cela qui se sous entend dans certains discourt politique, et c’est particulièrement nocif.
Le régime des amandes qui a existé fut interdit par la revendication puis est passé dans la loi. Vouloir faire supporter la crise à une catégorie de personnes est démentiel même si c’est à l’ordre du jour de tous les médias ou ceux qui cherchent des boucs etc., dans le cadre d’une analyse plus politique que socio économique.
La responsabilité des décisions sont le propre des dirigent et les engagent mais il existe assez de contre poids et de contre pouvoir pour que ceux qui jugent qu’elles sont mauvaises s’en défendent, cela répartie quel que peut les responsabilités, nous ne sommes pas encore dans une société totalitaire. Bien sur cela demande de s’occuper de la vie socio économique et politique plutôt, que de jouir seulement de l’existence, exige ce que l’on appelle une citoyenneté.
Fournir 	des prêts d’État à des taux très bas aux PME en difficulté. 	 	
	
Une 	bonne idées qui exige que l’état retrouve le moyen d’émettre 	de la monnaie si non elle va demander l’argent aux zinzins ou 	investisseurs institutionnel que sont les banques les états et 	quelques privés très fortunés, toutes tes autres propositions 	relèvent du dirigisme. Il faut redonner la main à la politique 	conventionnelle pour que les partenaires consentent les accords qui 	vont dans une plus juste répartition des richesse, et l’état 	prend la mains si cela n’abouti pas.
Il ne faut pas oublier que 	lui aussi est responsable de l’impact de la crise en ayant 	affaibli la redistribution de la richesse en faveur du patronat et 	des banques par voie de conséquence en ayant repris la main sur les 	partenaires sociaux qui n’aboutissaient pas à un accord sur les 	des salaires, que le patronat voulait geler, et l’état est allé 	dans ce sens. 	
Tu développe un certain nombre de paradoxes qui démontre que tu n’as pas une connaissance suffisante des sources de la crise dont les banques ne sont que les conséquences d’un iceberg, dont l’on a montré du doigt que la partie émergé, les subprimes.
Le système libéral n’est pas responsable de la crise l’on ne peut pas dire que disposer de la liberté de commercer soit une entrave, vivre sous la loi du marché en est une quand le marché à pour but de renier le Príncipe libéral dont il se prévaut.
La santé n’est pas un commerce, l’homme n’est pas une marchandise, il suffit d’aller sur internet pour voir toute les duperies et escroqueries qui sont réalisé sur les produits libres de distribution, et je ne vois pas pour quoi mon malheur devrait faire les dividendes de quelques actionnaire, dont tu as par ailleurs fustigé les abus.
Globalement ton plan de relance n’en est pas un c’est une satisfaction politique, comme celles que mettent en place tous les gouvernements en ce moment pour redonner confiance.
L’argent existe il ne disparaît jamais, puisqu’il ne dépend pas d’une source minière comme le charbon mais de notre esprit et de la confiance des uns dans les autres au travers d’un certain nombres de systèmes, c’est pour cela que l’on parle de crise systèmique. C’est pour cela que la solution que tu proposes vaut celle des autres malgré mes remarques, car elle n’a pour but que de satisfaire un inquiétude et une injustice qui c’est établie à cause de la dictature de la pensée unique. Si nous ne la remettons pas en cause toutes les mesures d’encadrement de surveillance ou de policiarisation que nous préconiserons seront détournés par les mêmes à moins que ne tu ne les mettent en prison.
Le capitalisme à besoins de retrouver une opposition pour qu’il retrouve se qu’il a de « vertueux », et de cette opposition naîtra ce qui est ou non acceptable, il n’y a personne qui dispose de la science suffisante pour se passer de cela bien que cela fasse trente ans qu’on essaie de nous le faire croire et il faut bien se rendre à l’évidence que ce sont les élites qui nous ont foutu dans la merde, alors peut-être qu’il faudrait revenir aux fondamentaux qui sont que des divergence d’intérêts naissent une complétude profitable. Les contrôles de tous ordres en l’absence d’une étique de comportements ne font que des dictatures. Et se sont les partenaires sociaux (patrons syndicats état) qui sont le mieux placé pour en discuter, dans le cadre d’un esprit libéral.
Cordialement.
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