Rappelons lui que jusqu’en 1944 le droit de vote avait été refusé aux femmes en raison d’arguments misogynes : celles-ci seraient faites pour être des mères et de bonnes épouses. Certains hommes politiques redoutaient l’influence qu’aurait pu avoir le vote des femmes sur l’évolution de la société. Heureusement Sophie n’était pas née.
On en trouve encore,de la misogynie, par exemple dans la bouche de F Dhainaut, président de l’AERES :
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Fut ensuite soulevée la question de la parité hommes-femmes dans les commissions d’experts (équilibre en régression par rapport aux commissions du Comité National par exemple). Après avoir pris acte de la faible quantité d’expertes par rapport au nombre d’experts et promis de veiller à augmenter la présence féminine, il avança des éléments d’explications pour expliquer cette disparité : le pouvoir est une affaire masculine d’une part et, d’autre part, « les femmes en plus de leur métier doivent s’occuper de la maison, des enfants. Elles n’ont donc pas de temps à consacrer à l’Aeres ».
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Cf http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article1281