Planisme et liberté.
Dans votre article "l’année de la révolte", vous avez essayé de noyer le poisson mais j’ai quand même pu repérer quelques-unes de vos idées maîtresses qui ont déjà été toutes essayées notamment par toutes sortes de socialisme.
Je vous cite, vous préconisez : " une amélioration commune de la qualité de vie par la hiérarchisation des priorités, des choix, et des ordres.
Voici la réponse de Lénine : "La société toute entière deviendra un seul immense bureau et une seule immense usine avec égalité de travail et égalité de distribution".
Je vous cite encore : " Il faut édicter des règles avec des sanctions claires" et vous dites plus loin que tout le monde doit suivre les même règles pour que cela soit plus clair.
Et Mussolini a dit : " Nous avons été les premiers à affirmer que plus les formes de civilisation sont compliquées, plus la liberté individuelle doit être restreinte".
Plus loin vous dites " La France a besoin de réforme et vous ajoutez : " Il faut définir lesquelles, pour faire quoi et comment" Ce que vous proposez, c’est de l’économie planifiée, comme tous les socialistes et autres planistes d’hier et d’aujourd’hui. L Trotzky, expulsé du territoire soviétique en 1929 a dit en 1937 "Dans un pays où l’Etat est le seul employeur, l’ancien principe : qui ne travaille pas ne mange pas, est remplacé par un nouveau : qui n’obeit pas ne mange pas".
Finalement, je pensais que vous alliez nous parler de Besencenot qui me semble + proche de vous avec ses propositions utopiques, mais vous citez OBAMA qui serait bien en colère de se retrouver dans votre texte.
Cleopale.