La course à la croissance et au rendement est bien plus nocive, car elle n’a aucune limite et le système politique a pondu des lois pour encourager ce phénomène à outrance.
Lorsque l’on analyse où vont les fruits de cette croissance (qui vient d’ailleurs d’atteindre ses limites virtuelles), il apparait que ses fruits sont inégalement répartis. Personne ne peut nier que l’exploitation de la consommation irraisonnée du modèle occidental se paie (à crédit) et sur le dos des pays sous-développés.
Sans entrer dans une polémique inutile, je pense que la décroissance de la consommation est nécessaire, pour tous ceux qui n’en ont plus les moyens.
Quant à Monsieur Allègre, ce n’est vraiment pas une référence sur le sujet du réchauffement, il est bien seul contre tous à penser ainsi !