Si le Président est libéral, la chose est simple :
- le banquier a merdé, donc il est nul, donc il fait sa faillite normalement, et adieu. Mais, non, hop, un petit coup de pouce avec des sous virtuels, les notres, et la casse pour nous, demain.
- le constructeur auto ne peut pas vendre ses voitures, inadaptées au souhait réel du vrai client (pas celui qu’imaginent les pseudos sondages intox), ou honteusement trop chères (comparer l’augmentation des salaires des ouvriers-consommateurs avec celle du prix des véhicules), il a merdé, donc il est nul,........ et adieu. Mais, non, hip, un petit............. demain.
C’est la LOI du Marché, appliquée tant que le medef dit oui, mais pas quand il dit non. Et on se cache pour la défendre, cette prétendue loi qui ne fonctionne pas, derrière des artifices du genre "oui, mais dans un marché vertueux"...... tour de passe-passe qui abrite le dogme si pratique pour cacher une politique de prévarication.
Ce qui est dommage, c’est que ceux qui jouent ce jeu sont aussi ceux qui critiquent l’idéal communiste en s’appuyant sur le réel de l’URSS stalinienne, sans aucunement accepter l’idée d’un communisme vertueux...... C’est vrai que personne ne les paierait pour cela.