bonjour,
votre article anti méritocratie me laisse perplexe, je pensais naivement jusqu’alors qu’on agitait cette "notion" au nez des français les plus récents et des autres pour laisser croire qu’on allais dévérouiller l’accès a des postes décisionnel aux "méritant" par leur travail.
Ce qui est une manière de contourner l’accusation permanente issue de la société d’en bas de racisme, népotisme, énarchie, tyrannie, duopole, etc... De cet en bas où on est plus en phase avec newton et les pommes qui tombent qu’avec darwon et une quelconque théorie de l’évolution.
Bref, la méritocratie, c’est un mot bidon, volontièrement laisser sans définition ni doctrine précise, qui laisse entendre que le patron a le droit d’embaucher qui il veut, puisque c’est lui qui détermine qui a le profil a l’embauche, et qui est méritant dans son entreprise.
Cela sert la réthorique sarkozyste qui veut libérer "les forces du travail" alors qu’il n’a pas compris que le mal est plus profond, sans meme chercher la crise et la mondialisation.
cela sert de chiffon rouges aux mouvement identitaires qui cherchant a imposer leur différences comme opprimée pour forcer les barrages a l’embauche, y voient une porte entrouverte.
Cela sert a utiliser le sentiment nationaliste de l’extreme droite en mal de reconnaissance pour les inciter a participer a l’effort, le coté bravoure pour la patrie reconnaissante du courage et du mérite, etc...
cela sert a rabaissé dans la soumission ceux qui se savent sans compétences ni mérites immédiatement remarquable, et donc finalement obligé de vendre leur docilité et de miser sur leur enfants en espérant que le mérite ne change pas de "valeur réel" entre temps,
cela sert aux privilégiée qui ont notoirement des facilités d’accès aux meilleurs diplomes d’en faire le mérite avec lequel elle justifie leurs positions et ainsi se décompléxer,
cela sert a des profs pour croire encore un peu a l’utilité de leur travail a former l’avenir et non des chomeurs, sous employés, etc... surtout en banlieue,
Et cela sert a vendre de l’espoir suffisament flou en guise du " projet de société" si vite oublié aprés l’élection parce que la France n’est pas "prête",
et maintenant en période de crise, lorsque l’emploi est une denrée rare, faire autoritairement changer les règles de la concurence a l’embauche entre Français, reviens a déclencher des crises qui font rapidement basculer vers une hausse importante de la haine identitaire, on peu vouloir tuer dans ce genre de crise lorsque l’avenir de ses enfants est en jeu.
entre le sentiment de ne pas avoir eut le job parce qu’enfant d’immigré et le sentiment de ne pas avoir eut le job parce qu’on est pas assez coloré et sans association identitaire pour se pleurer victime, le dosage d’une régle du jeu impartiale et mutuellement accépter entre les 2 est quasi impossible a faire en période de crise ou tous les coups sont permis.
amicalement, barbouse.