Cotorep , MDPH : l’un n’existe plus,tant mieux pour moi:inaccessible aux fauteuils roulants,sinon
à avoir un athlète pour pousser ledit fauteuil (rampe à 30° ...)
L’autre est une usine à gaz emplie de fonctionnaires assoupis,sauf lorsqu’ils éditent des reglements et
textes à la con pour justifier de leurs émoluments .
Autant pour moi - lourdement handicapé - que pour ma mère -80 ans et plus que fatiguée,avec assistance respiratoire - la moindre demande d’assistance consiste en l’envoi d’un dossier épais de je ne sais
combien de pages dont le fleuron est :
"Décrivez votre projet de vie " Quand on a 80 ans , au bout du rouleau,ou que l’on est paraplégique
soumis à des douleurs neurologiques insupportables , c’est vraiment malin comme question pour une demande
d’aide pour un fauteuil à +- E 700,00 ... laquelle aide,si vous entrez dans les cadres (mission impossible:vous etes toujours trop riche ou trop si ou trop la) vous apportera trois ans après un chiche chèque de E 40,00 dans
le meilleur des cas !
Alors j’ai rempli la feuille "projet de vie " : mon état me fait espérer un cercueil point trop couteux,merci de votre aide "
Les fonctionnaires en question se sont pas dégonflés ,ils ont passés le dossier au centre d’aide sociale de ma
commune ! Ces braves gens m’ont contacté et je leur ai gentiment dit d’aller se faire mettre ...
Je ne supporte plus ces structures étatiques qui coutent une fortune en personnel pour un
résultat minable ( à part les buffets de fin d’année du CE avec petits fours et champ’ à gogo ...)
Tout ce fric gaspillé serait bien plus utilement répartit si l’ Etat laissait aux associations et fondations
le soins des handicapés , assortis des sommes actuellement allouées aux MDPH et autres fariboles ...
Pour tout dire c’est écoeurant de constater ces incuries,ce j’men foutisme et cette irresponsabilité
de la part de structures qui " devraient" vous aider ; c’est tout le contraire : elles s’ aident elles meme
à vivre avec votre argent , Mesdames et Messieurs la con-tribuables
Alors oui : bougeons-nous , nous autres . Mais ans eux , par pitié !