pourquoi lancer une consultation auprès d’un très large public, pour ensuite laisser un petit groupe, arbitrairement choisi, choisir arbitrairement ce qui lui agrée ?
Parce que quand la première réponse est "arrêter le nucléaire" (qui est, en France l’une des énergies les plus propres et rentables ; je précise ET rentables car il est évident que l’énergie marémotrice est plus propre, mais je doute de sa rentabilité, sans compter qu’en Haute-Savoie...) et que "Reconnaître le droit de l’animal à ne pas être exploité et tué" retient un vote sur six, il y a lieu de se poser des questions sur l’intelligence des participants ; il s’avère qu’il serait bon d’écrémer un peu.
De plus, on imagine la richesse du dialogue (coûteux !) : n’oublions pas qu’il s’agit de bambins de maternelle qui commencent tout juste à faire quelques phrases en français, et qu’on prétend faire dialoguer avec un natif...
Tu m’ôtes les mots de la bouche. Jamais vu une proposition aussi débile que ce "dialogue en direct avec des étrangers".
On se propose donc d’initier des bambins de maternelle à une langue dont la complexité phonétique est reconnue de tous les pédagogues et linguistes, une langue qui provoque chez les natifs trois fois plus de dyslexie que chez les petits Italiens (langue assez régulière sur le plan phonétique).
Ah, je me disais bien que le vilain anglais pédophile qui rend dyslexique ne se cachait sûrement pas loin.