Le mal le plus profond que subissent les Roms est le communautarisme fermé. Ils n’ont plus de terre, de relations de voisinage, ni de liens avec les sédentaires. La musique est leur langue universelle.
Comment font-ils pour rouler en Mercedès ? Ils transforment les tiges d’osier des marais et trous d’eaux, en cul de chaises et paniers, etc... le rapport prix « matière première / produit fini » est énorme.
Le communautarisme fermé et obtus n’est pas leur apanage propre. Bien d’autres communautés idéologiques mènent à des attitudes encore plus condamnables que le vol à la tire.
Et ce teint de peau est surtout dû au feu autour duquel ils s’activent nuit et jour.