Bigard ne serait pas « rentré en grâce » s’il n’avait pas fait un film grotesque tournant en dérision la religion catholique, sachant qu’il ne risque rien de cette communauté.
Il s’est plié devant la Police de la Pensée et ses sbires merdiatiques. Il a confié à Télé-loisirs « on a voulu me détruire, mais c’est du passé ».
Un homme courageux donc, qu’attend-il pour pousser plus loin la « repentitude » ? .