L’actualité distrait le peuple et lui se reflète en
elle.
En disséquant les forums de nos grands quotidiens, on
s’aperçoit que la violence domine les débats au nom du moi, au nom de la
justice.
On constate que ces lieux dématérialisés servent de
vecteur de représentation morale et d’outil de représentativité républicaine.
La convergence de la criminalité et des faits de
société accroît le pouvoir de suggestion des raccourcis et le besoin de
vengeance de la foule.
La nature d’un crime
pardonnable, ou non, devient l’alibi de la fonction cathartique de l’ordre
juste.
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