Pour moi, l’intervention de « Ben Laden » a surtout mis en evidence son incapacite a toucher Obama, et la perte de vitesse du fondamentalisme en l’absence du partenaire privilegie Bush.
Le reve d’Obama ne divise pas du tout le monde, bien au contraire. Comme pour sa campagne nationale, il adopte au Caire une posture contre laquelle on ne peut pas s’opposer sans passer pour un diviseur.