Je préfère encore conserver ma liberté de mourir que me faire injecter quoique ce soit dans le corps par une institution médico-militaro-paranoîaque. La pandémie est psychotypique et atteint en premier les cerveaux des soignants eux même, génétiquement moléculés. La seringue est une micro arme redoutable qui tue plus qu’elle ne soigne, surtout dans les parcs des centre villes. Certes, la nature produit de dangereux poisons, mais le pire de tous est bien l’Homanimal...