Bon article. Mais nombreux sont les journaleux qui nous parlent (télé, radio...) un jargon « french » qui me donnent la nausée. Certes, depuis toujours, une langue s’enrichit d’emprunts à d’autres langues. Il suffit que ce soit utile.
Mais clash, crash, trash, slash, cash etc... relèvent d’un effet de mode. Et quand il s’agit d’information : on peut s’attendre à ce qu’elle soit de même farine. L’à-peu-près y est roi (mais bien emballé, qualité « pro »).
Que Larousse fasse chorus n’est donc pas étonnant.