Les prémisses de l’article étaient : pourquoi l’interdiction de la burqa n’ayant aucune chance d’être adoptée par les députés sans courir le risque de se prendre une claque de la cour européenne, cette question revient-elle sur le tapis ?
J’ai bien peur que les considérations individuelles en la matière ne comptent pas beaucoup au vu des difficultés juridiques que créerait l’interdiction de la burqa. Cela dit chacun a le droit d’exprimer son opinion à condition de rester dans les limites de la bienséance, mais aussi le devoir de s’interroger sur les raisons, avouées ou non, pour relancer un tel débat.