@ L’auteur
Je vous trouve un peu taquin !
En ce qui me concerne, il n’y a pas grand chose que je n’aime pas chez Michael Jackson.
Off the wall est certes un peu léger mais déjà prometteur. Thriller, Bad, dangerous et Invincible, sont de véritables tueries remplies de pépites définitives.
Il a su marquer le monde de son empreinte, et cela me semble incontestable.
Quant à l’époque où il a règné quasi sans égal sur le monde la musique, qu’il s’agisse de celle de la présidence de Reagan importe peu.
De fait se soucie t-on des politiques en place à l’époque où bach composait ?
Pas que je sâche !
Je regrette simplement qu’il n’ait pas fait plus d’albums, bon c’est ainsi !
Mais je pense que les médias américains, obstinés, passablement envieux et irrités de tout ce qui sort de la norme, lui ont défoncé le moral, et dans la mesure où je suppose qu’il était hyper sensible, son coeur, malgré et à cause des médocs (Demerol en tête), n’a pas tenu le coup !
Rappelons nous de cet encart évocateur de son quotidien maladif dans la chanson Morphine :
Relax
This won’t hurt you
Before I put it in
Close your eyes and count to ten
Don’t cry
I won’t convert you
There’s no need to dismay
Close your eyes and drift away
Demerol
Demerol
Oh God he’s taking demerol
Demerol
Demerol
Oh God he’s taking demerol
He’s tried
Hard to convince her
To be over what he had
Today he wants it twice as bad
Don’t cry
I won’t resent you
Yesterday you had his trust
Today he’s taking twice as much
Demerol
Demerol
Oh God he’s taking demerol
Hee-hee-hee
Demerol
Demerol
Oh my Oh God it’s Demerol