« chez nous il y a, comme ailleurs, des tordus »
Oui. Mais ils ne sont pas tous faciles à repérer, cela peut être bien insidieux. L’auteur n’a pas parlé de l’école comme un bagne, il a évoqué son désarroi face à une infime minorité de pervers qu’il évalue - arbitrairement - au dessous de 1%. A mon sens le nombre est un peu plus important. Mais il y a des degrés dans la perversité...
Pour moi l’enseignant vaut l’homme.